2020. Nous voilà depuis le 11 mai, libérés du joug des attestations. Ce jour sonna le glas du confinement. Sonnés, les portails s’ouvrent à nouveau, derrière eux, le retour à la vie. Mais dans quelles conditions ?
Avons-nous seulement vécu les jours de printemps ? J’entamai mes 28ans dans le contexte agité de cette pandémie, c’est à peine si je réalisai que Mars, Avril et Mai étaient là qu’il furent déjà passés.
La nature n’a pas bronché, les saisons ont continué de filer, les dates sont devenues dérisoires, les chiffres n’ont plus d’importance quand on a les couleurs. La lumière rasante du soleil dans les aiguilles de pin à 20h. Le 1er mai, la fête du travail ? Une touche d’ironie dans le paysage actuel.
Maintenant que nos maigres repères temporels furent balayé, quelle sera la suite ?
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PART 2
2020. Nous voilà depuis le 11 mai, libérés du joug des attestations. Ce jour sonna le glas du confinement. Sonnés, les portails s’ouvrent à nouveau, derrière eux, le retour à la vie. Mais dans quelles conditions ?
Avons-nous seulement vécu les jours de printemps ? J’entamai mes 28ans dans le contexte agité de cette pandémie, c’est à peine si je réalisai que Mars, Avril et Mai étaient là qu’il furent déjà passés.
La nature n’a pas bronché, les saisons ont continué de filer, les dates sont devenues dérisoires, les chiffres n’ont plus d’importance quand on a les couleurs. La lumière rasante du soleil dans les aiguilles de pin à 20h. Le 1er mai, la fête du travail ? Une touche d’ironie dans le paysage actuel.
Maintenant que nos maigres repères temporels furent balayé, quelle sera la suite ?